
jeudi 25 novembre 2010
Mars et Vénus…
Expliquer l'inexplicable ?
Ces relations instables ?
Nous ne sommes pas de la même Terre
Tout fini toujours par terre.
Quelque relation que ce soit s'écrase
Si elle n'est pas fondée sur de bonnes bases.
A quoi bon s'acharner
A croire aux contes de fées ?
Dans cette vie-là il faut agir avec précaution
Pour protéger notre cœur de tous ces frissons,
L'Amour le vrai, le tendre,
Nous sommes toutes là à l'attendre,
Tandis que ces messieurs
Font style qu'ils sont sérieux,
Ils nous font la misère par derrière
Et on finit par vivre l'enfer.
Deux planètes incompatibles
Deux genres incompréhensibles,
Le mélange des sexes pour quoi faire ?
Faire l'amour pas la guerre ?
L'amour d'une vie n'existe plus
Quand on y croit c'est foutu.
Illusions, désillusions, maltraitances,
Physiques ou morales, ça finit toujours en souffrances.
Fini l'espoir
Je ne veux plus y croire.
Que je chope Cupidon
Il va voir où je lui mets sa flèche ce con…
L'amitié a bien plus de valeur
Que tout à mon cœur.
Fini les hommes et leurs belles paroles
Approche-moi et je m'envole,
Loin de toi et loin de tout,
Vous êtes tous devenus fous.
Passez en cellule de dégrisement,
Enlevez ce déguisement,
Arrêtez vos produits illicites,
Qui vous ramollissent la b***,
Soyez des hommes des vrais,
Pas de gros machos complètement disjonctés…
Soyez un peu plus humain
Et vous aurez peut-être des lendemains,
Mais cette nouvelle génération
De gars complètement cons,
Ça va finir par la guerre des sexes,
Tant pis si ça vous vexe…
Prenez un peu sur vous
Lisez un peu en vous,
Arrêtez de faire tant de mal à celles qui vous aiment
A croire que vous avez tous un problème.
Que ceux qui sont vraiment différents montrent le bout de leur nez,
Ne vous bousculez pas par pitié…
Je 'en doutais, au fond un homme reste un homme,
Personne ne vous changera, non personne…
Un animal obsédé par la chair humaine,
Arrêtez la chasse ce n'est plus la peine…
L'âge de pierre est révolue pour de bon,
On n'a pas besoin de gros lourds,
Juste de l'attention et de l'amour…
Ne vous étonnez pas que nous tournions notre veste,
Avec ce que vous nous faites subir et tout le reste…
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