dimanche 31 octobre 2010

La différence, c’est l’indifférence…


Doux moments de souffrances, Que de supporter ton absence
Mais lorsque vient ton insolence, Armée d'indifférence
C'est mon amour propre qui prend un claque, Petit être démoniaque…
J'ai envie de casser la baraque, De tout mettre en vrac
Dépassée par la folie de mes sentiments, Ce sont eux qui prennent les devant…
Deux mois que je suis séparée maintenant, Deux mois que nous allons de l'avant,
Tous les deux réunis dans ton lit, Histoire d'une nuit ou dirais-je « histoires de nuits »…
Notre relation porte ses fruits, Je ne sombre pas dans l'oubli…
Esprits contradictoires, Chacun notre histoire,
Mais l'envie de te revoir, Est plus immense encore que le désespoir…
Lorsque tu pars sans rien dire, Après toi j'ai envie de courir,
Et lorsque pour te rejoindre tu me dis de venir, Mon cœur chavire…
Et quand tu m'appelles, Mon cœur s'emballe de plus belle,
Tu ranimes en moi l'étincelle, Qui fait de moi une femme nouvelle…
Tout de suite les grands mots, Mais ce sont mes maux,
L'amour c'est bien c'est beau, Mais il est tel un bateau sur les flots…
Il navigue vers un but précis, Mais où va-t-il cette fois-ci ?
Glissant sur les vagues en pleine nuit, Il file vers le phare qui l'appelle à lui…
Tu es mon phare mon amour, Je te suivrai toujours,
Jusqu'au lever du jour, Je te donnerai tout mon amour…
Rappelle-moi vers toi, Je ferai de toi mon roi,
Dans ces moments rien qu'à toi et moi, Enfin je respire avec toi… 

vendredi 29 octobre 2010

:(


Face à moi dans le miroir, Une tête pas belle à voir,
On lit dans ses yeux la douleur, Souffrance et malheurs…
Un moment de vide, Des crampes dans le bide,
Tout ça car chez le coiffeur je me suis fait plaisir, Et que de toi je n'ai eu qu'un sourire…
Qu'attendais-je de toi ? Je ne fais pas partie de toi…
Même si j'ai envie de croire en nous, On a une relation de fous…
Je vais tout changer, Me métamorphoser
Puis m'en aller, Déserter….
Partir loin d'ici, Loin de lui
Changer de vie, Quitte à quitter ce pays…
Prendre un bateau, Repartir à zéro
Parcourir l'océan, A la recherche de nouveaux sentiments…
Oublier l'amour, Oublier ce sentiment pour toujours,
Partir avec ma folie, Disparaître dans l'oubli…
Moment où je broie du noir, Ou cri de désespoir ?
Je n'y vois aucune différence, Je déteste l'absence…
Quitte à souffrir, Je préfère choisir,
Où et comment, Je finirai dans le néant…

jeudi 28 octobre 2010

Dérive…


Je suis dans ma phase de délires, Tatouages, piercings, j'aurais pu encore faire pire,
Un immense besoin de changer, Devenir une autre à jamais…
Même si dans ma tête je reste moi, Face à eux je ne serai plus moi,
Que personne n'entrevoie ma souffrance, Peut m'importent les circonstances…
Tel un surfeur sur les vagues qui l'entrainent, Je vais là où mes envies me mènent,
« Destruction corporelle » me direz-vous, Pour moi c'est un atout…
Je suis fière de ce que je fais et de ce que je deviens, A part l'oubli je ne demande rien,
Qu'un peu d'amour sans être forcément éternel, Je ne suis qu'une femme, une simple mortelle…

Envie…


Envie de prendre l'air, Partir à la mer,
Flâner sur les dunes, Au clair de lune.
Envie de partir seule là-bas, Jouir de chacun de mes pas,
Dans le sable mouillé, Une plage non souillée…
Envie d'effacer tout ce passé, Et me laisser guider,
Par la lumière d'un phare, Qui me dira où je pars…
Envie d'avoir une vie, D'avoir un petit,
Je n'ai nul besoin de richesses, juste ta main qui me caresse…
Envie d'enfanter, De fonder un foyer,
Mais sans père, Comment faire…
Envie de trouver celui, Qui partagera ma vie,
Celui qui me regardera avec les yeux qui brillent, Avec qui j'aurai une famille…
Envie de me réveiller, Un matin à ses côtés,
Les rêves c'est bien c'est beau, Mais c'est pas ça la vie, pas de pot…
Envie, envie, envie, J'aimerais que ce mot ne soit plus dit,
Cela voudra dire qu'enfin un jour, J'aurais retrouvé mon amour…

Papa


Dans cette vie tu avais ta place
Aujourd'hui tu as rejoint tes parents
Nul n'aura jamais ton audace
Il n'y aura jamais d'homme aussi grand.
Et pas juste parce que tu es mon père
Les autres aussi pourront le confirmer
Ton départ a fait souffrir enfants, pères et mères
On a perdu beaucoup tu sais.
Mais lorsque je viens te voir sur ta tombe
Assise à te parler jusqu'à ce que la nuit tombe
Seulement à ces moments j'ai l'impression que tu es là
Si seulement tu pouvais me prendre dans tes bras…
Il n'y a qu'un homme dans ma vie
Ni lui, ni un autre mais toi papa,
Il n'y aura jamais personne en qui j'aurais autant de foi…

Mémoires du soir


Seulement parler de bonheur
Taire ses malheurs…
Eviter les sources de conflit
En embrassant la vie…
Voir le soleil à travers toi
En me jetant dans tes bras…
Nier tous mes secrets
Si faciles à trouver…
Me réjouir du temps qui passe
Où je suis lorsque tu m'embrasses…
Retrouver enfin la joie de vivre à tes côtés
Gagner ton corps n'est pas assez…
Oui je sais j'en veux beaucoup, mais de toi je veux tout…

Un jour une vie, un jour une nuit…


Seule à la maison ce soir, Je m'invente des histoires,
De celles où je serais heureuse avec toi, Mais ce ne sont que des fables tu vois…
Les contes de fées de quand j'étais petite, Aujourd'hui et depuis toujours m'habitent,
Ces histoires où tout le monde vit heureux, Mais dans ce monde-là c'est bien malheureux…
Comment ne pas vouloir suivre ses rêves ? Mais lorsque la nuit s'achève,
Le monde redevient noir, Et je n'ai plus la force d'y croire.
Dure réalité que celle-ci : Déraison et ennui,
Sont des mots qui sonnent dans mon crâne, Et me mettent du vague à l'âme…
Une histoire parmi tant d'autres, voilà qui je suis, Mais tu n'as qu'un mot à dire et je te suis…
Dans quel but, quel avenir ? Je ne sais pas à toi de me dire.Plongée dans tes yeux, Je vois mes jours heureux…Mais lorsque tu n'es pas près de moi, Je me sens si seule sans toi…
Amour, passion, Fougue, déraison,
Tu me perturbes et me déroutes, J'ai perdu ma route…
Avec toi je vis dans un océan de lumière, dont quelques nuits deviennent un mystère…
Ces moment avec toi mon amour, valent vraiment le détour,
Tu as fait de moi ton pantin, dès le premier matin…
Tu n'as qu'à tirer les ficelles, et je serais celle
Qui jusqu'au bout de la nuit, saura attiser tes envies…
Une relation instable nous avons choisi, nous étions d'accord oui,
Mais à ce jour plus le temps passe et je m'enlise, quoi que tu dises, Dans les profondeurs de ce sol, tu me rends complètement folle…
Tu n'as qu'un mot à dire, pour qu'avec toi je respire,
Tu n'as juste à entrer, pour te faire aimer,
Mais si tu passes la porte aujourd'hui, ce n'est pas que pour une nuit…
La vie nous appartient, je veux que tu sois mien,
Peut m'importe nos passés, nous n'avons rien à nous cacher,
Chacune de nos vie nous connaissons, il n'y aura pas de dysfonction…
A toi de choisir, comment tu veux vieillir,
Je préfère tenter le coup avec toi, pour ne pas m'en vouloir une autre fois,
De ne pas avoir sauté le pas, alors que tu étais bel et bien là…

mercredi 27 octobre 2010

De l’amitié à l’amour il n’y a qu’un pas…


Si l'on m'avait dit qu'un jour, Je t'aimerais mon amour,
J'aurais pris ces gens pour des fous, Je n'y aurais pas cru du tout.
Toi si inaccessible, Autant qu'irrésistible,
Toi qui illumines mon cœur, Depuis toutes ces heures…
Quelques années de perdues, Depuis que nous nous sommes connus,
Aujourd'hui un « extra » nous unis, Mais tu fais tant de bien à ma vie.
Sentiments embrouillés, Tête retournée…
Est-ce de l'attachement ou de l'amour ?, Tu me manques chaque jour…
Peur de m'engager, Mon cœur a été trop piétiné…
Tu me combles de joie, Dès que je te vois.
C'est fou qu'en temps de crise, On peut faire des bêtises.
Toi avec tes conneries à deux balles, Moi avec mon cœur qui s'emballe.
Mais jamais je n'oserais t'ouvrir mon cœur, Peur de faire encore une erreur,
Peut-être le sauras-tu si tu viens ici, Ce qui est écrit n'a plus à être dit.
Amour ou amitié : je ne sais pas, je ne sais plus,
Si tu pouvais m'aiguiller, dans tes yeux je suis perdue.
Peut-être qu'un matin, tu seras mien…
Ou qu'une de ces prochaines nuits, tout sera fini…
Et me voilà encore aussi bête, à me prendre la tête,
Mon cœur pour toi bat la chamade, je crois bien que ça me rend malade…
Panses les blessures de mon cœur, avec ta douceur…
Gardes moi tout près de toi, sans toi il fait froid…

lundi 25 octobre 2010

Ma vie, mes nuits…


Seule ce soir
Plongée dans le noir…
Troisième nuit sans lui
Si longues sont les nuits…
Pourtant je fais la forte tête
Celle qui fait la fête…
A jouer avec l'alcool
Jusqu'à ce que ma tête décolle…
Plus de but
Tant de luttes…
Il savait apaiser mon sommeil
Et ce jusqu'au réveil…
Mais ce week-end a fait
Qu'à cause de ma fierté je l'ai jeté…
C'est sûr que je regrette mon choix
J'ai perdu mon Roi…
Seule face à mon miroir
Mon image est dérisoire,
Un pauvre sourire
Perdu au milieu des soupirs…
On récolte ce que l'on sème
Dans l'énoncé il y a dû y avoir un problème…
Il faut que je me bouscule
Avant que ma vie ne bascule…
Ces tout petits riens
Qui font tant de bien,
Ses bras s'enroulant autour de moi
Comme si pour une fois
J'étais reine
Ou même mieux, j'étais sienne…
Morphée m'appelle dans ses bras
Je vais le rejoindre là-bas,
Celui qui m'apaise a disparu
Et c'est moi qui l'ai voulu…

Des mots, rien que des mots…


Ce qui me fait rire aujourd'hui en y repensant, les gens n'aiment pas qu'on leur dise « je t'aime » il faut le penser etc…
Mais ils laissent les autres leur dire « je t'adore » alors que dans la langue française, la hiérarchie des mots veut que ce soit ainsi :
Aimer, Adorer, Aduler… Que répondre à ça ? J'aime beaucoup de personnes qui m'entourent, j'adore moins de dix personnes sur cette terre et j'adulais mon père…
Oui pour moi, mon père c'était mon Dieu, Dad je l'appelais, il savait tout sur tout. Il avait les bonnes réponses à tout, trouvait toujours les mots justes à mes problèmes même si ce n' était pas toujours des mots tendres. L'homme de ma vie c'était lui, cet homme merveilleux avec un passé dont je passerai les détails.
Je ne dénigre pas ma mère mais elle est encore sur cette terre, alors que mon père est en-dessous. Avant sa dernière opération, pour lui sauver la vie, j'avais demandé au médecin s'il pouvait prendre mon pancréas pour le lui greffer, mais il a refusé que je donne ma vie pour celle de mon père.
Cet homme qui a travaillé toute sa vie, sans vacances, sans cesse tous les jours, qui a sacrifié sa famille pour leur apporter tout ce dont elle avait besoin…
Enfin bref, pour tout ce qu'il était je l'adulais… J'écris pour vous au passé, mais je ne parle de lui qu'au présent, le passé me rappelle trop la mort, et pour le moment je n'y suis pas prête.
Tout ça pour vous dire que ce n'est pas parce que l'on aime qu'on adore, mais lorsqu'on adore on aime forcément.

2010…


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J'ai malgré moi tourné le dos au site Ciao au mois d'avril
Site sur lequel j'ai connu des personnes sensationnelles.
Mais lorsque ma vie n'a tenu qu'à un fil
J'ai totalement disparue moi qui me croyais immortelle.
J'en ai vécu des choses
Non la vie n'est pas rose…
Mais en lui ajoutant des couleurs
On arrive à la rendre meilleure.
Il est vrai que lorsqu'on s'enfonce dans le noir
On croit qu'il n'y a plus d'espoir.
Puis un jour un être arrive vers vous plein de lumière
Et là soudain tout s'éclaire.
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Mes amies m'ont rejoint sur facebook à mon grand plaisir
Malheureusement elles m'ont vue souffrir et dépérir.
Ma vie passe par toutes les couleurs de l'arc en ciel
Jamais de répit, pas même dans mon sommeil.
Arrêter de se prendre la tête ?
Quelle question bête !
Après avoir vécu toutes ces horreurs
Comment ne pas vivre dans la peur ?
En passant de viol, drogue, anorexie, alcool, maltraitances, dépression
Comment ne pas se poser à chaque instant de nombreuses questions ?
S'il y avait eu un Dieu sur terre
Pourquoi tout ce mal laisse-t-il faire ?
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Comment s'en sortir sans amourCelui d'une vie ou d'un jour ?
Comment croire à la vie
Quand chaque jour on la subi ?
Comment croire au bonheur
Dans toutes ces douleurs ?
Comment accepter d'être aidée
Si on a peur de se confier ?
La honte s'empare de moi
J'ai été battue tu vois,
Par l'homme qui m'a quittée
Celui pour qui j'ai tout donné.
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Seule je ne dors plus je n'y arrive pas
J'ai peur de rejoindre mon père là-bas,
A des menaces de mort j'ai été exposée
Par un homme qui prend des décisions et ne sait pas assumer.
Il veut que je me suicide
Mais je ne suis pas stupide,
Jamais je ne lui rendrai un tel service,
Il ne faut pas pousser de trop le vice…
Mon père est décédé il y a un peu moins de 3 ans
Grâce à mon héritage j'ai pu dépanner mon ex en argent,
Quelle conne on peut être par amour
Car je ne suis pas sure de le retrouver un jour.
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Cette année n'est pas la mienne
Tous les deux ans ma vie fait des siennes.
Les années paires ne sont pas pour moi
A chaque fois mon cœur meurt de froid ou d'effroi.
Encore deux mois à tenir
Le meilleur reste à venir.
Maintenant que je me suis enfuie
Il me reste à construire une nouvelle vie.
Trouver enfin l'être aimé
Qui me fera un bébé…
Avoir à mon tour ma dose de bonheur
Qui réchauffera mon cœur…

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(='.'=) (=':')
(")_(") (,(")(")
Oui je sais on ne vit pas dans un conte de fées
Les princesses, les chevaliers sur leur beau destrier
Ça n'existe pas, ce n'est qu'illusion
Je suis fleur bleue vous avez raison.
Je vis dans une part de rêve
J'ai besoin d'une trêve…
Après l'anorexie c'est la boulimie
Qui s'empare de moi aujourd'hui.On compense le manque comme on peut
Même si ce n'est pas très sérieux.
Aujourd'hui je suis fatiguée de me battre contre les fantômes de ma vie,
Loin de ces hommes qui m'ont détruite et marquée je m'enfuis….

dimanche 24 octobre 2010

Merci...

Si j’avais sur que 5 ans après
Nous allions nous retrouver
Pour après nous séparer
Le pas je n’aurais pas sauté.
« C’est pareil, toujours pareil
On s’promet pas monts et merveilles
C’est mieux que rien
C’est pire que tout
Mais au matin y’a plus de nous
Il n’y a plus de nous »
J’avais beau dire ce que tu voulais entendre
Il t’aurait fallu traduire
Il t’aurait fallu comprendre
Que j’avais peur de te faire fuir.
Maintenant que tout est terminé
Je peux enfin te le dire
Qu’à toi je me suis attachée
Car tu m’as redonné le sourire.
Ce qui est evident
Si nous avions continué
Serait arrivé un moment
Où je me serais mise à t’aimer.
Tu nous as évité bien des choses
En me disant qu’il y avait une autre
Je ne veux pas savoir la cause
Ni pourquoi tu virevoltes.
Tu as choisi ton chemin
Une destination qui m’est inconnue
Mais qui ne sera jamais mien
Car je ne partage pas même pour le cul…
Cependant j’espère que tu seras heureux
Et qu’une femme touchera ton coeur
Quelles que soient tes règles du jeu
Tu mérites de trouver ton bonheur.
Je ne saurais m’exprimer autrement
Pour te dire combien je t’adore
Mon cœur a subi des désagréments
Et ne peut plus en supporter encore.
Si nous devions nous retrouver
C’est à ton bon vouloir
Réfléchis avant d’appeler
Car je risquerais d’y croire…
Bonne nuit mon amour
Merci pour ces merveilleuses nuits
Gravées en moi pour toujours
Et ainsi va la vie ….

Assommée...


Assommée, perdue sans toi
Sans toi je ne suis plus moi
Tu as fait bien plus que me faire survivre
Tu m'as délivrée et m'as fait revivre…
Assommée, pourtant c'est moi qui l'ai cherché
Avec ce que je t'ai balancé
Je fais le contraire de ce que je veux faire
Idem pour mes pensées je dis le contraire…
Assommée sans ta main qui me frôle
J'ai été rude dans mes paroles
Certes je ne veux pas partager
Ce que tu m'as fait aimer…
Assommée par ma fierté à la con
Je vais au-delà de ma raison
Pour enfin admettre ce que j'éprouve
Lorsque près de toi je me trouve…
Assommée de peur d'aimer
Sans envie aucune de te quitter
Je préfère prendre le risque de perdre à ce jeu
Pour profiter de ces moments superbes, plongée dans tes yeux.
Assommée ce matin au réveil
Il me manque mon rayon de soleil,
Celui qui fait briller mon cœur et mon âme
Qui me brule de milles flammes…
Assommée par le regret aujourd'hui
De ces mots balancés cette nuit,
C'est pas comme ça que je voyais cette soirée
Je ne m'y étais pas préparée…
Assommée par ton silence
Et par la distance,
Maintenant je vais rester terrée
Je prends le risque que tu ne rappelles jamais…
Assommée ma marmotte
Sans toi je grelotte,
Mon amour, mon cœur a froid
Et mon corps perdu sans toi…

C’était notre chanson papa…

Un jour on peut s'retrouver
Comme une poupée cassée
L'enfance qui pleure à cloche pieds
Qui n'sait plus jouer.

On est là étourdie
Dans un paradis
Quand un père a choisi
Une autre vie
Pour une lady.

Je cachais mon désespoir
Toutes les nuits j'te parlais tout bas
J'm'inventais des histoires
Ou j'allais avec toi.

De guignol et Musée
En haute Normandie
J'aurais pas dû t'laisser bruler ta vie
Pour une lady.

Aujourd'hui, j'peux bien te le dire
Maint 'nant qu'le temps a tant passé
J'ai grandi, mais je crois qu'j'ai jamais souri
Mais la vie, calme les colères
J'lui pardonne a cette lady
Qui m'a volé mon père.

J'rêvais qu'tu sois le gardien
De toutes mes maladresses,
Que tu sois comme un copain
Je voulais qu'on s'connaisse.

Tout ce temps gaspillé
Tout c'qu'on s'est jamais dit
Cette enfance enlaidie
A jamais pour une lady.

Aujourd'hui, j'peux bien te le dire
Maint 'nant qu'le temps a tant passé
J'ai grandi, mais je crois qu'j'ai jamais souri
Mais la vie, calme les colères
J'lui pardonne a cette lady
Qui m'a volé mon père.

J'ai grandi, dans un coin d'espoir
A croire que tu r'viendrais me voir
Mais ta voix, n'a chanté que pour une lady
Aujourd'hui, ce sentiment de vide
Pour peu qu'on soit un peu lucide
M'a rendue bien plus forte que je n'l'aurais cru
Et la vie, calme les colères
J'lui pardonne a cette lady qui m'a volé mon père.

Maux de cœur…

Passer du bonheur
A l'horreur
Quelle a été mon erreur
Pour devoir vivre dans la terreur.

Marre de souffrir
Croire que je vais mourir
Tes yeux sentent la mort quand tu viens m'ouvrir
Je n'ai nulle envie de périr.

Ce qui t'emm**** tu vois
C'est que je sois bien sans toi
Que j'ai pu trouver un toit
Et retrouvé la foi.

Aussi dure que soit une séparation
On doit assumer ses actions
Et Apres longue réflexion
J'ai trop donné en concessions.

Aujourd'hui le soleil frappe à ma porte
Tu ne me verras pas morte
Plus que toi je serai forte
Toi que le diable t'emporte.

Trop de choses pardonnées
Tant de temps gaspillé
C'est sans aucun regret
Que je tire un trait sur notre passé.

Un autre a pris ta place
Comme tu l'as fait avec ta conn****
Mais lui au moins a de la classe
Et contrairement à toi, une face.

Sur ce, bon débarras
Mais on se reverra
Même si ça doit être en plein fracas
Plus jamais de ma gentillesse tu m'auras.

La vieille époque est révolue
Cette vie-là je n'en ai jamais voulu
Heureusement que j'ai retrouvé la vue
Je passe ma place à celle qui l'a voulue.

Tout est bien qui finit bien
Tu vois sans toi je ne suis pas rien
Tu continues à faire le malin
Mais la dis-toi que c'est la FIN !

Haine…

Écœurée
Exaspérée
Horrifiée
Terrifiée

Tout en toi me déplait
Ton âme au diable tu as donné
Tu n'as de cesse que me menacer
Tu veux que je vive dans l'angoisse a jamais

Que va-t-il se passer ?
Ca tu le sais...
Devant les tribunaux on va se retrouver
Et la tu vas payer

Tout le mal que tu m'as fait
Ma peau marquée
Ma santé détériorée
Arrête de me harceler !

Tout est terminé
Adieu à tout jamais,
Des que mon argent m'aura été restitué
De moi tu n'entendras plus parler…

Peut m'importe les on dit
Peut m'importe si on te le dit,
Pour toi j'avais donné ma vie
Je la reprends aujourd'hui !

Les sentiments ne sont plus la
Remplacés par de la haine envers toi,
Tu as fait tant de dégâts
Je vis dans l'effroi…

Le tribunal tournera une page cette année
Celle qui me rendra l'argent prêté,
Celle qui me payera mes heures passées à bosser
Pour qu'enfin je puisse avancer sans regrets…

Tu as touché à mon père
Tu l'as menacé à travers moi,
Je t'assure que je ferai la guerre
Pour récupérer ce que tu me dois !

Vague à l’âme

Enfin je t'ai retrouvé
Toi celui que j'ai toujours regardé,
Ton image ne m'a jamais quittée
Dès le premier jour tu m'as envoutée...

Chaque nuit dans tes bras
Me rapproche un peu plus de toi,
Chaque jour où je ne te vois pas
Mes pensées volent vers toi...

Quelle bizarre sensation
Je perds la raison,
Mon esprit vit dans la fiction
Face à une réalité à la con...

C'est toi et moi dans la nuit
Contre les rêves d'une vie,
Juste un soir réunis
Rien que Ça me suffit...

Toi si inaccessible
Avec moi ? C'est impossible,
Comment rester impassible
Avec toi si irrésistible...

Profitons du temps qui nous est donné
On ne sait pas de quoi demain sera fait,
Peut m'importe l'avenir, le passé
Je sais que rien ne sera parfait...

Tu me rends heureuse tout simplement
Avec toi aucun différent,
Profitons de nos instants
Pour oublier notre présent...

Perdue…


Déchiré est mon cœur, Je m'enfonce dans le malheur...
Quand arrivera l'heure Du retour du bonheur?
J'en ai marre d'avoir si peur D'être éveillée à point d'heure
Pour savoir si c'est là que je meurs....
Atteinte à ma vie, Menaces contre lui,
Tout en moi est détruit, Je vais devoir me reconstruire aujourd'hui
Heureusement qu'il y a mes ami(e)s.
Partir loin je languis Pour qu'enfin il m'oublie.
Comment aller de l'avant? J'suis si désarmée maintenant
Oubliés les sentiments Même lui mon amant
Dans ma détresse, sans le savoir, m'a laissée en plan.
Rien ne devient évident, tout est si violent,
Avancer va être le parcours du combattant....
A quand un bébé??? Me faire inséminer???
Tant de peurs à évacuer Tant de larmes à sécher,
Plus de bras pour me calmer Ou me sentir en sécurité....
Dans ma bulle je me suis enfermée...
Toi aussi t'es parti je ne ferai pas la tête, Je continue à faire la fête
Champagne à volonté j'ai déjà les coupettes Je vais me mettre carpette
Je perds la tête... Je veux mon coup de *****ette
La tienne et pas une autre je regrette.
Il ne faut pas me faire goûter aux bonnes choses je te l'ai dit
Tu m'as aidé je t'en remercie Et pour le bon temps aussi....
Y'en a une qui va râler en lisant ceci
Mais quoi qu'il en soit t'as fait partie de ma vie
Tu m'as apaisée toutes ces nuits Mais aujourd'hui c'est fini...
Merci à tous ceux qui ont été là Depuis tout ce temps où plus rien ne va
J'ai osé baisser les bras Je ne suis pas fière de moi....
Devoir errer par-ci par-là Pour oublier l'effroi,
L'alcool, les médocs, tes bras, tout pour être loin de tout ça...

Mes peurs…


Ne plus dormir
Avoir peur de mourir
Pourquoi as-tu tant de haine à m'offrir ?
De ta faute je suis obligée de partir.
La vie est ainsi faite,
Et encore je me prends la tête
Car aujourd'hui je m'inquiète
De savoir si au lever du jour je serai vivante peut-être.
Dure réalité de la vie Apres 5 années
Aujourd'hui tu ne fais que me menacer
Dans l'appart tu as tout défoncé
Tu espérais de moi que je reste bouche bée.
Je vis dans la terreur,
Tu me fais peur,
Tu me portes malheur,
Tu n'as ni face ni cœur.
Tu es un homme parmi tant d'autres,
C'était toi pour moi, c'est ma faute
De mon argent tu m'as allégée entre autres
Et ce qu'il t arrive est ma faute ?
Regarde autour de toi
Il n'y a pas que moi,
C'est elle qui se colle à toi
Et le sort qui s'acharne sur toi.
Lundi je serai partie
Enfin une nouvelle vie
Je construirai mon nid
Pour avoir enfin du répit.
Tant de choses à hurler
Tellement traumatisée
Plus jamais d'homme je ne veux rencontrer
Pour ne plus mettre ma vie en danger.
Tu as eu ma vie entre tes mains
Mon cœur tu as froissé à deux mains
Mon corps tu as bleui de tes propres mains
Je vais enfin y voir la fin.
Enfin une histoire achevée
En espérant que d'ici là tu ne m'aies pas crevée
Tant de bras tendus m'ont aidé
Et soutenue dans ma détresse qui évoluait.
Merci les amis de m'avoir empêché d'encore plus souffrir
Moi qui pour revoir mon père voulait mourir
Faire semblant d'aller bien pour pas que l'on me voit périr
La tête haute je voulais sortir...
Dure réalité encore une fois,
J'ai une fierté mal placée moi,
Émois, ébats, désarroi, débats ont eu raison de moi
Je ne sais plus qui je suis Apres tout cet effroi.
Après tous ces dédales
J'en perds les pédales,
Il faut que je détale
Pour ne plus que tu me fasses du mal
Un mois et demi que c'est fini maintenant
Et encore tu me glaces le sang
Ma vie je dois protéger dorénavant
Car là c'est toi qui perds la raison avec tes agissements.

Honte à tous ces violeurs d’enfants…


Aujourd'hui cela fait 14 ans que j'ai été violée, par mon oncle paternel (le seul et unique frère de mon père), il n'a fait que 2 ans de prison, c'est inadmissible de s'en tirer si facilement après avoir détruit une enfant... 

J'ai un secret bien trop lourd à porter...
Ce soir-là, tu m'avais menacée pour ne pas parler.
Puis je sentais petit à petit ta main sur moi,
Et je ne pouvais rien contre toi.
Tes mains partaient de plus en plus loin,
À ce que je ressentais tu pensais de moins en moins.
Moi qui n'avais jamais eu de père,
Je t'avais pris pour modèle, pour repère.
Mais toi tu as pris mon enfance,
Sans penser qu'en même temps tu as gâché mon existence.
Tu n'avais pas le droit de me faire ça,
Tu n'avais pas le droit d'abuser de moi.
Déjà 7 ans passés mais le mal et l'envie de mourir sont toujours présents,
Depuis, tous les soirs je repense à cet instant si court mais si marquant.
En pensant que la vie est cruelle,
Et moi qu'une simple erreur naturelle.

 

 
Gémissements,
Pleurs, cris étouffés
Rires sadiques, regard diabolique
Je m'entends, je le vois
Je me souviens de ce moment,
Rêves piétinés, innocence brisée...
J'ai beau réfléchir,
Je ne trouve pas le pourquoi
Pourquoi moi ? Pourquoi ça ?
Enfant naïve, homme menaçant
Rencontre tragique, collision violente
Virginité effacée, enfance volée...
J'aimerai dormir, oublier, partir,
Mais son image est là,
Jour et nuit elle poursuit,
La petite fille que j'étais,
Elle étouffe l'adolescente que je suis
Et tue la femme que je serai...

Hommages…


Pour papa
Un papa c'est un phare qui guide nos premiers pas
Il nous montre les sommets à atteindre,
Et apaise nos peines d'enfants en nous donnant une épaule sur laquelle pleurer.
Il résous bien des problèmes, veille sur ses proches (enfants, parents, petits-enfants, amis)
Raconte des histoires et partage ses rêves.
C'est lui qui répare les objets que nous brisons.
Quand nous sommes tristes il l'est aussi, mais il sait rire de nos plaisanteries.
C'est une source inépuisable de savoir et de sagesse, un ami pour toute une vie.
C'est pour ça que nous l'admirons et que nous l'aimons énormément.
Nous aurions tant aimé que tu continues ta vie.
Tu es notre vie, notre héros, notre père, notre grand-père, mon frère, mon fils, mon ami...
Nous avons peur de grandir et d'oublier ton sourire. Nous resterons la tête haute pour que tu sois fier de nous car nous t'aimons papa.
Il nous faudra beaucoup d'imagination pour recréer un monde autour de nous, un visage, un sourire, une voix magnifique
Il nous faudra beaucoup de courage pour accepter la vérité, regarder ta photo sans pleurer, accepter ton départ.
Mais il nous sera impossible de parler de toi au passé et d'oublier les moments passés ensemble
Car tu restes en chacun de nous papa...

















A Colombe
Colombe
Quel beau nom t'a-t-on donné
Symbole d'amour, paix, fidélité, pureté
Toutes ces choses en toi réunies
Qui font que tu as illuminé nos vies
Une telle prestance et une telle personnalité
Qu'avec beaucoup d'aisance tu t'es fait aimer
Et autour de toi réunis aujourd'hui
Afin de t'honorer toi, notre famille, notre amie
Toi qui fus toujours à nos côtés
Qui a su nous écouter, nous épauler
Jamais ne t'es plainte malgré les soucis
Et toujours en nous voyant nous a souri
Tu t'envoles dans le ciel étoilé,
Un ange, une étoile pour nous guider,
Tu t'envoles là-bas dans la nuit,
Alors que dans nos cœurs c'est un jour de pluie,
Tu t'envoles pour oublier,
Tout ce que cette terre n'a pu te donner,
Tu es le vent qui souffle les nuages, donne les éclaircies
Tu es l'océan qui voyage, jamais ne s'ennuie
Tu es la vague qui s'abandonne sur la jetée
Le soleil, la pluie, quel que soit ton souhait
Comme le sable qui coule entre nos mains, file la vie
Tu as pris ce long chemin, à toi l'infini...

Tant de choses à dire qui resteront tues à jamais
Parce que pendant toute cette vie nous n'avons su vous dire que l'on vous aimait
Trop pudiques certainement pour vous le dire pleinement
Mais terriblement perdus sans vous car on vous aime tellement

Juste une histoire comme ça…


Cinq ans après on se retrouve, Grace à ma séparation
On se découvre, Une véritable passion…
Depuis début Septembre tu m'as fait tenir, Dans ce que j'ai pu vivre de pire
Tu m'as redonné le sourire, Et la force de m'en sortir…
Tes paroles comme de l'eau je les ai bues, Dans tes yeux je me suis perdue
Sur moi tu as jeté ton dévolu, Et j'avoue que jusqu'ici ça m'a plu…
Si j'avais pu rembobiner, Ces quelques années perdues
Je serais remontée à notre premier baiser, A ces moments auxquels je n'avais pas crus…
Peut m'import les On dit, Je n'ai qu'une vie
Malheureuse jusqu'ici, Jusqu'au jour où tu m'as souri
Rappelle-toi ce que tu m'avais dit, Que tu ne trouverais jamais une femme comme moi
Mais que fais-tu aujourd'hui, Là je n'ai pas compris ce que tu fais toi…
Est-ce encore une excuse à deux balles ?, Ce n'est même plus drôle
Tout ce temps avoir joué ce rôle, Celui de la femme fatale…
Il y a une quinzaine de jours tu m'as fait le même coup, Je t'avais prévenu que je n'allais pas te supplier
Même si pour moi tu es le meilleur en tout, Et c'est toi qui m'as rappelée…
Vas-tu encore me refaire la même ?, Ne t'amuses pas ou je t'aime
Tu sais combien à toi je suis attachée, Encore un coup comme ça je m'enfuis au lieu de rester…
Tous les deux on a bien profité, Du temps qui nous était imparti
Je n'ai rien à regretter, J'ai adoré ce moment de ma vie…
Finies les histoires à n'en plus pouvoir, Qui causent mon désespoir
Aujourd'hui je broie du noir, Car pour nous il n'y a plus d'espoir
Maintenant que tu n'es plus là, Que va-t-il advenir de moi ?
Je suis dans tous mes états, Car pour me protéger il n'y a plus toi
Pour toi je ne vais pas pleurer, Mais je me sens perdue avec mes angoisses
Je ne sais pas si je vais réussir à me relever, Car dans ma vie tu as pris ta place…